Recours au Conseil d'Etat contre le projet immobilier de 300 logements à Genappe !

Nous vous invitons à soutenir le comité de quartier: via le formulaire ci-joint http://goo.gl/forms/j5brbdx4SJ 


La Ville de Genappe poursuit la procédure du permis de bâtir pour 300 logements sur le Pavé Saint-Joseph à Loupoigne (en zone agricole). Alors qu'avant tout il indispensable de d'étudier la réaffectation de l'ensemble du site de la sucrerie.

Ni la grande mobilisation des habitants (400 signatures), ni vos/nos arguments n'ont été entendus. 

Il faut donner la priorité au centre de Genappe, depuis de trop nombreuses années, le centre se vide de ses commerces et de ses habitants, se transformant en un véritable désert. 

Le comité de suivi citoyen mis en place n’apporte aucune garantie quant à la possibilité de modifications profondes (densité, principe d'implantation ...) du projet. 


Pour défendre la ruralité de notre commune et rénover notre centre ville, le Comité de quartier entame les démarches en vue d'introduire un recours au Conseil d'Etat avec l’aide de Maître Denis Brusselmans, avocat bien connu dans ce type de matière.

Les frais de Maître D. Brusselmans sont d'environ 6.000€ hors TVA.

Plus nous serons nombreux, plus la participation financière sera faible.
Afin de lancer la procédure, dans les prochains jours. Nous vous invitons à rejoindre la démarche du comité de quartier:* En complétant le formulaire de souscription que vous découvrirez en suivant le lien http://goo.gl/forms/j5brbdx4SJ
* En versant votre contribution sur le compte BE22 0689 0290 7147 au nom du Comité de Quartier Notre-Dame de Foy (Chaussée de Charleroi 40 - 1471 Loupoigne).


6 milles mercis pour votre confiance, 


Loupoigne, le 19 juillet 2015.

Christine Gilain ((0495 61 01 07) Benoît-Michel Morimont (0476 30 33 41) Alain Sabbe (0496 81 15 88) Denis Sporcq (0496 74 45 09)
Adresse : Comité de Quartier Notre-Dame de Foy
Chaussée de Charleroi 54 - 1471 Loupoigne
E-mail : quartier.nddefoy@gmail.com


suivre le comité sur Facebook: https://www.facebook.com/quartier.zacc.loupoigne?ref=bookmarks

Pourquoi s’opposer aujourd’hui au projet d’éco-quartier ? Quelques réponses édifiantes !




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Pourquoi s’opposer au projet d’éco-quartier à Genappe ? Quelques réponses édifiantes !

Le Rapport urbanistique et environnemental (R.U.E.) de la Zone d’aménagement communal concerté (ZACC) Saint-Joseph est en enquête publique jusqu’au 30 juin.


Le PS de Genappe demande que le R.U.E soit retiré, pour les raisons expliquées ci-dessous :
  • Un manque de participation citoyenne voulue par les autorités communales !
  • Un périmètre inadapté qui n’aborde pas l’ensemble des incidences.
  • La voie royale aux expropriations et à la spéculation sur un terrain public !
  • 300 logements à l’horizon 2018 !
  • Après 25 ans d’immobilisme, toujours pas de vision globale sur Genappe !
  • Pas de notions claires du potentiel urbanisable de la commune !
  • Le PS interpellera tous les pouvoirs publics !
  • Un projet idéal ? Ou une précipitation par manque de vision ?
  • Une information suffisante !

Mais si celui-ci venait à être poursuivi et pour justifier notre position, nous demandons :
- qu’un périmètre plus large soit étudié (études complémentaires),
- qu’une étude indépendante démontre que le Pavé St Joseph est la plus optimale en regard des PCA et autres ZACC de la commune.
- qu’une communication régulière soit organisée à destination des habitants.
- que le schéma de structure et le plan de mobilité intègrent les différents potentiels urbanisables sur la commune et qu’une grille d’évaluation fixe les zones prioritaires.
- que la dépollution du site de l’ancienne sucrerie soit mise en chantier,
- qu’un mécanisme foncier soit mis en place pour garantir que les jeunes puissent habiter sur notre commune dans ce quartier et qu’une spéculation soit neutralisée. Exemple : CLT (Community Land Trust)
- qu’un développement d’activité économique sur le site de la sucrerie puisse être rapidement développé avant d’accueillir des nouveaux habitants, la priorité localement est de créer de la valeur ajoutée au bénéfice de 650 chômeurs (les chiffres augmentent) et des habitants qui ne peuvent trouver d’emplois locaux aujourd’hui, alors que la commune dispose de zones d’activités économiques et/ou anciennement industrielles (sucrerie).
- que le texte du rapport accompagnant le R.U.E. soit intégralement revu, car de nombreuses erreurs sont révélatrices d’un travail non abouti, alors que celui-ci est supervisé par l’administration communale et le collège, qui devraient pourtant avoir une connaissance fine du territoire et des éléments dans le périmètre du projet.

Un manque de participation citoyenne voulu par les autorités communales !
Les riverains et la population de Genappe n’ont pas été associés à la réflexion et constatent à la lecture de ce rapport que sa mise en œuvre va avoir un impact non négligeable sur leur quotidien.

Le manque d’information et l’absence de participation a empêché ce projet d’obtenir l’adhésion des riverains. De nombreuses inquiétudes sont perceptibles chez les habitants, qui ne comprennent pas pourquoi ce dossier n’a pas suivi une séquence logique : R.U.E suivi d’un marché public pour l’urbanisation et, ensuite, le choix d’un promoteur. Cette manière de fonctionner pose la question de la validité du processus et la pertinence d’un dialogue compétitif préalable à un document d’orientation passé à l’enquête publique. Comme le R.U.E. est un outil très contraignant, qui permet d’aborder si nécessaire des outils d’expropriation, on peut comprendre ces interrogations.

Un périmètre inadapté qui n’aborde pas l’ensemble des incidences.
Le périmètre du R.U.E. n’aborde pas les zones à bâtir qui se trouvent à proximité (Rue du sucre, ancienne sucrerie, ZACC RN°5, etc.). Le périmètre du R.U.E. étant l’intérieur de l’îlot et ne comprenant pas les 3trois rues qui constituent le véritable périmètre à étudier, incluant au moins 50 mètres en plus des 3 trois chaussées qui le constituent, ne permet pas à ce R.U.E. d’établir l’ensemble des incidences qui devraient être soulevées, ni le véritable potentiel urbanisable sur la zone, laissant une place conséquente à de la spéculation foncière sur des parcelles qui devraient être intégrées dans l’étude. De plus l’absence de justification sur la priorité donnée  à cette ZACC semble totalement contradictoire avec les intentions du CWATUPE/CODT et du SDERR, densification, optimisation des centres. (Alors qu’un schéma de structure est en cours sur la commune)

Pour la population de Genappe-centre, de Loupoigne et d’Houtain-le-Val, c’est la modification du trafic routier (alors qu’un plan de mobilité est en cours, mais qu’aucune disposition particulière pour améliorer l'accessibilité en transport en commun n’est prévue) et le gaspillage des terres agricoles qui font problème. Par contre, pour les riverains, les impacts négatifs sont nombreux…

La voie royale aux expropriations et à la spéculation sur un terrain public !
La validation du R.U.E. va permettre l’expropriation de maisons et de fonds de jardin (et des habitations qui “gênent” l'optimisation du projet). Les adaptations futures du R.U.E. échapperont à la concertation citoyenne sous le rouleau compresseur des promoteurs qui bénéficieront d’un outil d’expropriation mis en place par la commune, sur des terrains qui sont la propriété du pouvoir public en majorité (RW, commune, CPAS). Cette particularité devrait être l’occasion d’y développer un CLT (Community Land Trust) pour neutraliser tout risque spéculatif. Le promoteur s’est engagé à vendre des habitations à des prix “raisonnables” ce qui n’est possible qu’avec un mécanisme du type CLT.

300 logements à l’horizon 2018 !
La validation du R.U.E. permettra l’implantation de 300 logements, càd :
-          750 nouveaux habitants qui auront pu acheter un logement entre 200.000€ et 300.000€, parmi lesquels on dénombrera uniquement 8 logements sociaux unifamiliaux, soit moins de 3 %, alors que la recommandation de la Région wallonne (le propriétaire du site !) est de 10 % ! On est loin de la mixité sociale annoncée ! Alors que la Région,  la Ville, le CPAS et la Fabrique d’église de Loupoigne sont propriétaires de la majorité des parcelles, un véritable scandale de ne pas arriver dans les négociations préliminaires à 20 % de logement public pour rattraper le retard de la commune (4 %).
-          515 voitures qui emprunteront les voiries actuelles : la rue du Pavé Saint Joseph vers la chaussée de Charleroi (60%) et vers la route du Sucre et Loupoigne (40%) (et donc vers la route d’Houtain-le-Val que l’on sait peu carrossable !) L’auteur du projet estime 1100 passages de voitures en plus chaque jour, ce qui semble sous-estimé.
-          Peut-être des habitants enclins à utiliser les voies lentes et relier le Ravel qui ne pourront toutefois résoudre tous les problèmes de mobilités des navetteurs, des parents qui conduisent leurs enfants à l’école, des habitants qui vont faire leurs courses … où ? Aujourd’hui, ce n’est pas au centre de Genappe, aucun bénéfice pour les commerçants existants, ni pour la revitalisation du centre moribond de notre commune.
-          Des nuisances : Pas moins de six années de chantier seront nécessaires, six années durant lesquelles des engins de chantier rythmeront la vie du quartier. Une fois les maisons construites, 750 habitants supplémentaires sur les 600 actuels, soit deux fois plus de monde, de voitures, etc. (sans tenir compte du potentiel de l’ancienne sucrerie dont on ne sait rien du projet).
-          8.5 hectares de terres agricoles sacrifiées, sur lesquelles il serait intéressant de développer un projet d’économie sociale pour y développer une activité agricole de type circuit court pourvoyeuse d’emploi local.
-          Le paysage du site de Notre Dame de Foy tout à fait modifié ! Avec une vue imprenable sur les silos de 80 mètres de haut (20 dans le dossier)

Après 25 ans d’immobilisme toujours pas de vision globale sur Genappe !
Alors que Genappe élabore actuellement son schéma de structure, son plan communal de développement rural (PCDR), son plan de mobilité, il est impensable de déjà engager la commune dans cette démarche qui va à l’encontre des souhaits de la population, fière du caractère rural de son environnement. Le schéma de structure parle de 16500 habitants à l’horizon 2026, ce projet permet d’atteindre ce chiffre d’ici 2020. Au rythme de l’urbanisation souhaitée par la commune, on devrait atteindre 20.000 habitants en 2026, mais c’est vraisemblablement là tout le jeu caché des autorités communales. Et il existe de nombreuses autres parcelles sur la commune qui, au centre, pourraient remplir ces objectifs. Y compris à l’évidence en commençant par la partie de l’ancienne sucrerie qui se trouve proche de la ville à la place de la Gare, le long du Ravel. (Il n’y a pas de Gare à Genappe, mais le nom de la place n’a pas changé depuis la fermeture de la ligne 141, ce qui peut être trompeur dans la lecture du dossier)

Et puis, soyons réalistes, les statisticiens recommandent un accroissement annuel de 50 habitations qui correspondent déjà aux 50 permis de bâtir accordés à Genappe chaque année ! Faut-il vraiment continuer à construire n’importe où ? S’il faut densifier, suivons les recommandations de la Région wallonne et densifions l’habitat existant, en l’occurrence le centre-ville du côté du Hall de sports et le quartier Mintens, près des commerces et des transports en commun.

Pas de notions claires du potentiel urbanisable de la commune !
Le potentiel urbanisable de la commune est totalement inexistant dans l’étude, si ce n’est que le rapport mentionne que “D'après les chiffres de la CPDT, le potentiel de développement foncier est assez élevé au niveau de la commune de Genappe. Un peu plus de 26 % des terrains situés en zone d’habitat seraient libres de construction. Les autres zones réservées à l’urbanisation (excepté les zones de loisirs) présentent un potentiel moins important mais supérieur à 10 %”. Les alternatives sont balayées, au profit d’un projet pourtant à l’initiative des pouvoirs publics. Ils devraient pourtant montrer l’exemple et avoir le courage de revenir sur une décision prise dans des circonstances passées, dont les intérêts financiers n’ont pas été démontrés. Le risque de ce projet est en finale de coûter à la communauté.

Il existe des alternatives beaucoup plus intéressantes pour notre commune, mais pour les mettre en œuvre, il faut oser consulter l’avis de la population, et pas lui imposer une vue, construite pour défendre l’intérêt de quelques acteurs au détriment de la population existante. Le schéma de structure qui n’est pas terminé devrait d’ailleurs aborder ces questions. Le R.U.E. fait mention du schéma de structure alors que celui-ci n’est pas terminé, et toujours pas soumis à l’enquête publique.

Le PS interpellera tous les pouvoirs publics !
Le gouvernement sera interpellé par notre groupe local, car nous ne pouvons accepter que des décisions aussi importantes pour l’avenir de notre commune soient prises sans concertation avec les riverains et l’ensemble des acteurs locaux. Sans que l’ensemble des groupes politiques ne soutienne une véritable vision du développement de notre commune, on assiste à un arbitrage qui privilégie un projet spéculatif au détriment de l’intérêt général. Pour notre groupe politique, c’est totalement inacceptable pour un projet initié par un pouvoir public.

Et le R.U.E. qui devait être la première étape, initiée par la commune, passe beaucoup d’éléments sous silence. Pour ne citer que quelques exemples absurdes : l’existence de silos à 80 m de hauteur et pas 20 mètres (comme indiqué dans le texte), des distances calculées les plus favorables et pas de manière moyenne sur la zone, des imprécisions et des erreurs sur la cartographie, l’absence d’étude liée aux deux fonderies qui sont en exploitation sur le périmètre, pas d’analyse d’un périmètre sans pesticide/insecticide qui pourrait être mise en place sur l’ensemble de la zone, pour garantir aux riverains un environnement sans risque...

Un projet idéal ? Ou une précipitation par manque de vision ?
On essaye de nous faire croire que ce projet est un projet idéal, alors qu’à l’analyse il est la démonstration d’un empressement à poursuivre une logique mercantile sans vision du territoire. Une baffe pour les outils qui sont mis en place sur la commune, schéma de structure, plan de mobilité, PCDR, qui ne sont toujours pas finalisés. Tout ceci démontre l’absurdité de ce projet, même les outils régionaux, SDER et CODT, considèrent par leurs objectifs que ce projet ne répond que très partiellement aux critères d’une bonne urbanisation (densification, proximité des centres, accès aux transports en commun, etc.). Le quartier du pavé Saint Joseph ne dispose en rien de ces avantages.

Le R.U.E. devrait être un véritable outil pour permettre une urbanisation optimale, dans ce cas, le R.U.E. se limite au minimum pour faciliter le projet, sans tenir en compte les spécificités de nos quartiers et des habitants.

Pourquoi ne pas commencer par la place de la gare ? Pour une question du coût dépollution du site de la sucrerie, alors qu’on nous montre le bilan financier qui a justifié ces choix, ceux-ci sont cachés dans le dossier. Si un problème de dépollution existe, il est urgent de s’en occuper, car le projet n’envisage même pas l’urbanisation du reste de la sucrerie. Voudriez-vous vivre juste à côté d’un projet immobilier ou industriel dont vous ne connaissez rien ? Et si la dépolution n’est pas si coûteuse, pourquoi n’a t’elle pas encore commencé ?

On nous dit qu’il faut réaliser le potentiel foncier pour financer la dépollution, mais les recettes de la Région wallonne ne peuvent être affectées à des projets particuliers. Pourquoi ne pas commencer la dépollution si elle pose problème ? Pourquoi ne pas lier les promoteurs aux obligations de déposition à charge de la RW ? Alors que la RW à déchargé de ses responsabilités le pollueur (Südzucker) à qui elle a racheté le site à un prix prohibitif (puisqu’elle doit se charger des coûts de dépollution à la place de l’exploitant - Südzucker a pourtant obtenu un permis pour exploiter à Wanze une nouvelle usine, et le bilan de cette entreprise est largement bénéficiaire). Si la Région ne peut obtenir de cet industriel toujours en très bon état financier de quoi financer la dépollution, elle doit intégrer ce coût au marché public et à l’attribution d’un promoteur immobilier qui en supportera les frais. (L’ancienne usine se trouve à hauteur de la nappe phréatique, c’est une question de santé publique)

Il semble de plus en plus évident que des intérêts économiques et privés dominent ce dossier de manière irrationnelle, mais notre rôle est de défendre l’intérêt général et l’utilité publique, buts premiers des groupes politiques. C’est pourquoi nous nous opposerons fermement à ce projet.

Une information suffisante !
Alors que le Bourgmestre estime que l’information a été suffisante, la commune n’a pas informé les riverains en suffisance, en lui laissant 30 jours pour l’enquête publique, c’est un piège. L’absence de « toutes-boites », l’absence de courrier individuel, sont autant de manquements qui ont permis de ne pas créer de dialogue (nous n’avons pas trouvé de publication dans la presse). En souhaitant un dialogue compétitif avec les promoteurs, n’aurait-il pas été juste d’en faire de même avec les riverains ? Le strict minimum semble avoir été fait. Un dossier aussi important qui se dit « le premier éco quartier » n’applique même pas ses propres principes de participation citoyenne, les citoyens ont le droit de se mobiliser face à un projet qui ne défend pas l’intérêt général et privilégie vraisemblablement quelques acteurs privés. Cette situation est révoltante, particulièrement pour un pouvoir public qui devrait profiter de ce projet pour montrer l’exemple.

L’absence totale de concertation avec la population nous inquiète, pour un projet qui se dit “durable”, alors que la notion de durablilité considère la participation citoyenne comme prioritaire, ce projet manque de transparence et de concertation avec les habitants, ce qui est plus que regrettable. Alors que la commune a fait croire que cette concertation existe, il n’en est rien : pas de comité d’accompagnement, pas de communication régulière avec les habitants, pas de moyens pour permettre aux riverains de se défendre, ni de financer une contre étude… un manque total de transparence et de moyens pour la population. A ce stade du dossier et pour un dossier aussi important, c’est inadmissible pour chacun d’entre nous. Que nous habitions le quartier ou que nous soyons simple habitant de la commune, ce dossier montre qu’il n’y pas de dialogue localement et que nous subissons l’agenda des promoteurs. Ce dossier est aujourd’hui le contre-exemple d’un projet durable, il en est même le représentant le plus contre-productif.

Pour le groupe Socialiste de Genappe, ce sera un NON, ferme, et nous démontrerons que d’autres options sont plus intéressantes pour tous les habitants. Nous relaierons cette position à tous les niveaux de pouvoir pour que notre commune devienne une commune modèle.

La commune, le conseil communal et le CPAS et la Région.
Lors du dernier conseil communal, nous apprenons que le CPAS est propriétaire de terrains sur ce projet, comment est-il possible que le CPAS ne profite pas de cette opportunité pour obtenir des logements publics en suffisance ?

Le R.U.E est initié par la commune, et permettra d’exproprier toutes les personnes qui n’accepteront pas une transaction dans le cadre de la réalisation du projet. La commune ne confirme pas publiquement ce scénario. Pourquoi nous cache-t-elle que l’expropriation est une possibilité de cet outil administratif ? Nous pensons que nos arguments seront autant d’arguments pour permettre le retrait de ce projet sans délai.


Pour le groupe PS,

MITSCH JF, conseiller communal
12 a rue des Communes, 1470 Genappe
0495 298815 - 067 556594 - mitsch@mitsch.be

Ecoquartier ? on double la population de Loupoigne !

Des qualités… et des objections

Fifi Vincent Publié le
Certains riverains et l’opposition PS jettent un œil critique sur le projet
Après la présentation du projet hier à l’hôtel de ville, en présence du ministre wallon de l’Aménagement du territoire, Philippe Henry, les avis n’étaient pas unanimes dans la salle. Les riverains, qui n’avaient pas été invités mais qui ont assisté à la conférence, regrettaient surtout de n’avoir jamais été associés à l’élaboration des plans.
"Nous avons une réunion de quartier samedi et nous prendrons position collectivement", précisait sur place Christine Gilain, riveraine et candidate socialiste aux dernières élections. "En tout cas, plancher sur un projet durable sans associer les habitants est aberrant. On nous avait aussi parlé de 240 logements, et nous remarquons qu’on est à près de 300… Cela fait tout de même fort cité à ce stade…"
Le chef de file socialiste au conseil communal, Jean-François Mitsch, faisait la moue également après la présentation. Sans dénier certaines qualités au projet, mais en déplorant lui aussi le manque de concertation avec les voisins. Et en se demandant finalement quelle a été la réelle valeur ajoutée de la procédure de dialogue compétitif vanté par la ministre Écolo.
"Le promoteur a racheté le terrain pour trois millions d’euros, cela ne permettra pas de boucler le programme entier de réhabilitation du site de la sucrerie", affirme-t-il. "L’autre problème à mes yeux, c’est qu’on crée un lotissement décentré. Contrairement à ce qu’a affirmé Philippe Henry, on ne densifie pas le centre de Genappe à cet endroit : on double la population de Loupoigne !"
Pour le conseiller PS, l’enquête publique permettra de consulter la population dans le cadre de l’adoption du règlement urbanistique et environnemental à venir, mais les riverains se heurteront à un promoteur trop puissant.

Sucrerie de Genappe, 250 logements attribués – Absence de dialogue avec la population. Qu’est ce qu’on cache ?

Genappe – le 5 décembre 2013, mitsch jean-francois

Sucrerie de Genappe, 250 logements attribués – Absence de dialogue avec la population. Qu’est ce qu’on cache ?

Faites ce que je vous dit, mais pas ce que je fais ! La Région wallonne devrait annoncer l’entreprise lauréate du réaménagement de la sucrerie de Genappe ce 13 décembre. (Espace-vie octobre 2013 N°235 p3)

Depuis le rachat de la sucrerie en 2006 par la Région, les citoyens n’ont pas été informés de l’évolution du dossier. Les riverains s’inquiètent et ont interpellé le monde politique.

Vu les polémiques dans le dossier (voir annexe) et le souhait de la région de faire de la réaffectation de la sucrerie à Genappe un dossier exemplaire, il nous semble indispensable d’impliquer les habitants et les riverains, il n’en est rien !

Quatre promoteurs sont en lice (Matexi, Equilis, Immobel, Extensa); ne serait-il pas souhaitable que chaque promoteur puisse présenter son dossier et qu’un vote indicatif soit organisé pour les habitants, avant l’attribution !

Même si la décision finale sera prise par la région, cette consultation populaire permettra aux citoyens de comprendre la décision; l’impact sur la commune étant non négligeable : Aménagement du territoire, mobilité, emplois, etc. Le projet de la sucrerie et l’ensemble du potentiel à bâtir au centre de Genappe peut faire tripler la population !!!

Faudra-t’il casser le processus pour créer une participation des habitants en concertation avec les opérateurs publics pour des questions de fond puissent être abordées : accès aux logements  pour les jeunes, prix des logements-Community Land Trust, logement public, équipement public, critères de durabilité, création d’emplois …

L’objectif devrait être une véritable participation citoyenne sur des enjeux qui impliqueront les habitants de la commune pour de très nombreuses années. Il en va de la crédibilité du monde politique, son rapport aux citoyens qui ne comprendraient pas qu’un projet comme celui-ci lui soit imposé, avec comme seule possibilité de faire des commentaires lors d’une enquête publique (en 30 jours). (Alors que les Ministres qui prendront la décision partiront d’ici le mois de mai 2014 et que le pouvoir local devra assumer ces décisions pendant de nombreuses années !!!)

Les enjeux locaux sont nombreux, la manière d’agir dans ce dossier met en péril la réalisation d’outil d’orientation: schéma de structure, PCDR, plan de mobilité qui, pour être cohérent ils doivent être finalisés avant les décisions sur la sucrerie et intégrer les contraintes du projet de la sucrerie.

L’ensemble des commissions: ccatm, mobilité, finance, le tissu associatif local, le centre culturel, doivent pouvoir accompagner ce projet avant d’être attribué à un opérateur, sans quoi une forte opposition naitra. La seule manière de faire entendre les riverains sera d’attaquer le projet en Conseil d‘Etat ! Les décisions sont prises à Genappe sans débat ni transparence… par qui, dans quel but, pour quel bénéfice ?

Sous couvert d’une nouvelle procédure de marché public « un dialogue compétitif » le manque de transparence dans le projet laisse apparaître le manque de vision globale du développement de notre commune. Un comble alors que le gouvernement lance une enquête publique sur le sder (schéma de développement territorial, enquête qui se termine en début 2014 et qui prône la densification des centres, l’inverse du dossier actuel de la sucrerie). Genappe, commune riche devrait être un exemple, nous allons être un contre-exemple !!! Pour un dossier piloté par la Région Wallonne, on pouvait s’attendre à une meilleure gouvernance. Mais c’est aussi une manière pour le pouvoir local de jouer de la situation sans la moindre transparence.

Vu les délais accordés aux études et vu la non-information du public, il nous semble nécessaire de laisser du temps au citoyen pour appréhender ces questions (les études durent depuis 2006). Pour décider avec le soutien de la population, il en va de la crédibilité des acteurs politiques pour un développement durable, soutenable et solidaire qui se base sur la participation citoyenne dans notre commune et rendra à l’action politique tout son sens.

Merci pour votre lecture, je suis à votre disposition dans ce dossier.

Mitsch Jean-François

Conseiller communal PS, 12a rue des Communes – 1470 Genappe mitsch@mitsch.be 0495298815

Genappe: La reconversion du site de l’ancienne sucrerie fait POLÉMIQUE.



8 mai 2013, 00:08 -PAR PHILIPPE VAN LIL

PROJET POUR REVITALISER UNE VILLE EN DÉCLIN - www.alterechos.be

Gérard Couronne,bourgmestre de Genappe, et Jean-François Mitsch, ont des visions diamétralement opposées sur le dossier.


Gérard Couronne
Gérard Couronne, rue Reine Astrid, 5 D 1473 Glabais – tél.: 0475 42 70 17 – courriel : gerard.couronne@genappe.be


Gérard Couronne


Jean-François MitschJean-François Mitsch, rue des Communes, 12 a 1470 Genappe – tél.: 0495 29 88 15 – courriel : mitsch@mitsch.be –site : http://blog.mitsch.be/




Place de l’ancienne gare de Genappe – L’ancienne sucrerie en arrière-plan © COMMONS WIKIMEDIA www.alterechos.be
Place de l’ancienne gare de Genappe – L’ancienne sucrerie en arrière-plan © COMMONS WIKIMEDIA www.alterechos.be

Genappe: La reconversion du site de l’ancienne sucrerie fait POLÉMIQUE.

Le site de l’ancienne sucrerie de Genappe sera réaffecté. D’ici une vingtaine d’années, 800logements pourraient y être construits. En dépit de procédures fort longues,les autorités communales ont la volonté de faire de cette reconversion un modèle du genre. Sera-ce vraiment le cas ? Depuis son démarrage, le dossier suscite de vives polémiques.



Lorsqu’on arrive un vendredi matin à 8 h sur la place communale de Genappe,c’est « jour de marché ». Officiellement, du moins ! En fait, le spectacle est quelque peu désolant: seul un boucher dans sa roulotte officie, le chaland se fait rare, la place a des allures d’un lendemain de Saint-Sylvestre. Repassez sur la même place quelques heures plustard ou en soirée, cette ambiance d’un centre-ville inanimé est la même. C’est notamment pour cette raison que Jean-François Mitsch, tête de liste PS de l’entité aux dernières élections communales, s’oppose fermement au projet de réhabilitation de l’ancienne sucrerie tel qu’envisagé par la majorité communale :

« Il faut d’abord réfléchir à l’énorme potentiel de sols à bâtir existant au centre même de Genappe. Avec ce nouveau projet, il n’y a aucune vue d’ensemble de la ville. On nous apporte une nouvelle ville sur papier, que l’on juxtapose à la ville existante, sans tenir compte de cette dernière.Aujourd’hui, le centre de Genappe est devenu moribond : sur la place du centre-ville, deux tiers des commerces sont fermés ; il n’y a plus de restaurant, plus de centre administratif, plus d’activités culturelles. » Aux dires de l’intéressé, « le développement d’une zone d’activité commerciale à la sortie nord de la ville, le long de la nationale, où sont implantées une série de grandes surfaces depuis quelques années, a déjà accentué la fermeture des petits commerces au centre-ville et paupérisé celui-ci. Le projet de réhabilitation de l’ancienne sucrerie, tel qu’envisagé, avec notamment la construction d’une nouvelle place, accentuera encore plus la désertion du centre-ville. On ajoute ici un projet sans tenir compte de la nécessité d’exister pour la ville actuelle. Si les fonctions de la nouvelle ville à venir ne sont pas les compléments de quelque chose d’existant, tout s’organisera autour de cette nouvelle ville : commerces, maison de repos, associations, etc., autant d’outilsqui manquent dans la ville actuelle. Il faudrait répartir ces outils de façon équitable entre la ville actuelle et la nouvelle partie de ville à venir.»

800 logements sur 20 ans ?
Quoiqu’il en soit, le mois dernier, le dossier a connu une nouvelle avancée : le Collège communal de Genappe a marqué son accord pour la construction de trente premiers logements par hectare sur huit hectares. C’est ici la première phase d’un projet de construction de 800 logements programmé sur vingt ans, la densité la plus importante devant être localisée à terme au plus près du centre de Genappe. La délibération du Collège du 12 septembre 2012précise que pour ces huit hectares, « une surface importante sera consacrée aux espaces publics et espaces verts ainsi qu’aux services demandés par la Ville»,à savoir une crèche, un terrain multisport et une aire de jeux. Il a aussi été décidé que les logements, eux, seront limités à un rez-de-chaussée plus deux étages plus les combles. Initialement, il avait été envisagé d’avoir des habitats de trois étages au-delà des rez-de-chaussée, tout comme il avait aussi été question de 40 à 50 logements à l’hectare. Concernant cette première phase,Gérard Couronne, relate la suite des opérations : « La Région a récemment lancé un appel à candidats – pas encore un appel à projets! – pour urbaniser ces huithectares. Dix candidatures ont été reçues à ce jour. Un jury, dont fera partie la commune, retiendra cinq candidatures (...) Il y aura 180 à 200 logements. Fin 2014, ces premiers logements devraient faire leur apparition ; ils devraient accueillir quelque400 nouveaux habitants à Genappe. »

Quid de la suite des constructions ? «Là, on est encore parti pour quelques années », estime le bourgmestre, qui se montre par ailleurs plus prudent que ce qui a été évoqué jusqu’ici dans la presse : «Le ministre a parlé de la construction d’un total de 800logements. Cependant, il faudra d’abord analyser ce qui sera ventilé, dans la deuxième phase, pour les PME, les commerces, l’espace public, les crèches,l’école, etc. (...) En réalité, nous aimerions créer un tissu industriel qui vienne compenser les pertes subies avec la disparition de la sucrerie.» A ce sujet, Marianne Janssens précise : « Nous souhaitons avoir une zone de vingt hectares d’activité mixte, autrement dit aussi industrielle. Mais le ministre n’en veut pas! Nous n’abandonnons pas cette idée :
cela permettrait à de grosses entreprises de s’installer, de créer ainsi des emplois de proximité...et d’éviter que cette partie de Genappe ne devienne une cité dortoir ! »
Signalons que le projet de revitalisation urbaine initial portait sur la construction de 800 logements avec une répartition de 300 maisons unifamiliales accolées de un à deux étages et de 500 logements au sein de petits collectifs de maximum trois étages.L’étude de la SARSI donne le détail qui suit : « Une réelle mixité de fonctions est développée: 800 logements, 3 100 m2 de commerces, 10 200 m2 d’équipements (crèches, groupes scolaires, maisons de repos, maisons des associations, centre d’accueil de la réserve naturelle) et 30!000 m2 d’activité. L’implantation des immeubles sera guidée par des considérations énergétiques. »

La problématiquede ladépollution du sol
Pourquoi avoir étalé le projet sur vingt ans ? Marianne Janssens : « Nous voulons un quartier quicorrespond à l’habitat de notre commune. Nous ne voulons par exemple pas l’arrivée de trop d’habitants en même temps. Il y a un équilibre des fonctions à avoir pour répondre aux besoins de la population : crèches, écoles, commerces. La qualitéde vie est un objectif primordial du projet. »
A ce propos, Jean-FrançoisMitsch, rétorque que « ce qui est aussi choquant dans ce dossier, c’est lephasage en huit étapes sur vingt ans, où la première phase commence par la construction de logements dans la partie la plus éloignée du centre-ville actuel. C’est le contraire qui est souhaitable dans ce que l’on appelle la densification del’habitat. »

Ce spécialiste dans le développement de projets de partenariat public-privé dans le secteur des énergies renouvelables à une échelle industrielle (parcs éoliens, etc.) soulève un autre lièvre : «Un vrai problème de ce dossier est la dépollution du site.Personne ne veut en parler! La dalle sur laquelle se trouve l’usine a été faite avec des remblais sur des sols pollués. On est sur la nappe phréatique. La dépollution ne doit pas être opérée dans vingt ans mais en tout premier lieu!Une telle dépollution coûterait quelque vingt millions d’euros : comment financer un tel montant ? C’est là la vraie question ! » Cette somme viendrait s’ajouter aux cinq millions d’euros déboursés par la Région wallonne pour le rachat du terrain et aux quelque deux cents millions nécessaires, selon la SARSI, aux futures constructions de bâtiments et d’équipements.

Enfin, Jean-François Mitsch conclut par un autre enjeu de ce dossier : « Il faut faire en sorte que ce terrain public, qui appartient donc à la Région wallonne, puisse rester en grande partie la propriété du secteur public, par exemple par le fait que la commune de Genappe se porte acquéreur des sols. Ceci permettrait notamment de compenser le manque de logements publics sur la commune, qui aujourd’hui tourne en dessous de 5" % ; on devrait viser les 20"% de logements publics sur un tel projet, au lieu des 10"% prévus. » Nul doute que ce dossier fera encore couler beaucoup d’encre... avant que les premières coulées de bétonne puissent être opérées !

Une procédurede longue haleine
Rétroactes. Nous sommes en2004. La sucrerie de Genappe ferme ses portes, suite aux effets d’une directiveeuropéenne du début des années 2000, qui prévoit une baisse de 30 % de laproduction de sucre en Europe. Bien que performante, l’entreprise n’occupe pasune position géographique stratégique intéressante : elle est située en pleincentreville, n’est pas à proximité d’une voie navigable... Le couperet tombe :elle est sacrifiée par son propriétaire, le Groupe Raffinerie Tirlemontoise,leader du marché du sucre en Belgique (chiffre d’affaires en 2011 : 771 millions d’euros). Les 110travailleurs seront reclassés dans d’autres entreprises.Il faut dès lorssonger à la réaffectation de l’ensemble du site de l’ancienne sucrerie.On lesait dès le départ : cette procédure sera de longue haleine. Elle débute en2008 lorsque la Région rachète, pour 5 millions d’euros, l’ensemble desterrains de ce sitede 145 hectares à la Raffinerie Tirlemontoise. Le projet deréaffectation peut commencer. Le gouvernement wallon en attribue alors lamaîtrise d’ouvrage déléguée à la Société d’assainissement et de rénovation dessites industriels du Brabant wallon (la SARSI SA). Un arrêté ministérieldélimite ensuite un périmètre SRPE (Site de réhabilitation paysagère etenvironnementale). La même année, la SARSI, en collaboration avec le bureaud’études DLA Piper, procède à une étude d’élaboration d’une stratégieopérationnelle de réhabilitation du site. Dans la foulée, un comité d’accompagnementest mis sur pied. L’actuel bourgmestre de Genappe, le libéral Gérard Couronne,principal initiateur de ce projet de reconversion au sein de la commune,précise que « le comité d’accompagnement réunit notamment des représentants dela Ville de Genappe, le cabinet du ministre – au départ Antoine, maintenantHenry – l’administration du Territoire, l’administration du Patrimoine,l’administration de la Division Nature et Forêts, le fonctionnaire délégué,l’Intercommunale du Brabant wallon (IBW), la SARSI... Ce comité s’est déjàréuni seize fois depuis 2008. »

Toujours en 2008, lesconclusions de l’étude permettent de déterminer trois zones de réaffectation :
  • 73 hectares, reprenant l’ensemble des bassins, seront consacrés à une zonenaturelle gérée par la DivisionNature et Forêts ;
  • 25 hectares seront dédiés à un écoquartier composé de logements, PME,maison de repos pour le CPAS, centre de bien-être privé, piscine, terrains detennis, etc. ;
  • le solde sera destiné à un écoparc affecté à l’agriculture.MarianneJanssens, l’actuelle échevine en charge de la Rénovation urbaine, de la Politiquedu logement, du Développement durable et des Affaires Sociales, estime que « lazone naturelle de 73 hectares constitue une véritable richesse, notamment auniveau ornithologique. Il s’agit de la réserve naturelle la plus grande duBrabant wallon. » En 2010, la SARSI lance un marché de services portant sur l’établissementd’une étude de faisabilité urbanistique et d’aménagement de l’écoquartier et del’écoparc. Finalisée en décembre 2011, cette étude visait à déterminer lesenjeux urbanistiques, les structures du territoire, le positionnement dumaillage écologique, de la mobilité, des activités rayonnantes, des servicescommerciaux et publics, de la gestion locale de l’eau et de la pollution dusol.


www.alterechos.be

© AGENCE ALTER/PHILIPPE VAN LIL

Genappe: une grande consultation populaire

Si vous n'avez pas eu la chance d'assister à la présentation ce 27 septembre:
70 slides pour faire le point sur nos propositions http://fr.slideshare.net/mitschjf/genappe-a-vendre
Actuellement pour prendre "les grandes orientations" il n'y a pas eu de consultation de la population, c'est pourquoi les élections sont l'occasion de nous positionner.
Avant de lancer le grand chantier de Genappe, nous voulons:

Vision, Consultation & Cohérence:
- Un schéma de structure (urbanisme)
- Un plan de mobilité
- Un PCDR
- Un plan du développement des énergies renouvelables
- Un plan de développement économique (créer des emplois locaux avec des ressources locales)
- Un Agenda 21 de la culture (4e pilier du Dev Durable)

= grande consultation populaire

Ensuite on lance les chantiers et pas l’inverse.

Et préserver le contrôle foncier, la majorité du potentiel urbanisable de la commune est propriété des pouvoirs publics. Il ne faut pas spéculer sur le dos de la population

MITSCH JF, tête de liste PS Genappe